死亡日记
地区:法国
  类型:警匪
  时间:2025-02-16 08:17:10
剧情简介

死亡

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明星主演
孙楠
陈乔恩
陈升
最新评论(139+)

朴完奎

发表于9分钟前

回复 :在一个远离喧嚣闹事的田园所在,双胞胎卢卡斯(卢卡斯·施-瓦兹 Lukas Schwarz 饰)和伊莱亚斯(伊莱亚斯·施-瓦兹 Elias Schwarz 饰)过着无忧无虑的生活,同时每天等待住院的妈妈早日归来。这一天,两个小家伙一身泥泞跑回家中,惊喜地发现妈妈(苏珊娜·伍艾斯特 Susanne Wuest 饰)终于回来了。只不过妈妈头上缠着绷带,几乎看不清原来的模样。只不过接下来的一段时间,孩子们发现妈妈态度变得冷淡,言行举止也有许多怪异的地方,他们甚至认为这并非真正的妈妈。母子间的冲突不断加剧,妈妈禁止伊莱亚斯和哥哥卢卡斯说话,男孩为此痛苦不堪。究竟是什么让这个家走向破败边缘?究竟是哪里出了问题?


绿日乐队

发表于6分钟前

回复 :讲一个参加倒幕运动的农民,带着没有压迫、人人平等的梦想,尝试回乡建立新秩序的故事。「赤毛」というのは、幕末、江戸に進軍する官軍の「赤報隊」(これ、時効になった朝日新聞襲撃の際、犯行声明出した謎の団体の名前と同じ?)の隊長がかぶる「鏡獅子」みたいな被り物が赤かったところからくる通称。百姓くずれの官軍の一兵卒・権三は「先方隊」に立候補し、隊長の「赤毛」を借りて、生まれ故郷の村に乗り込む。そこは、代官とやくざの一家に牛耳られ…となると、まるでクロサワの『用心棒』。村のセットも『用心棒』の宿場町に似てる。百姓達は年貢取立てに苦しみ、権三の恋人とみ(岩下志麻)ら、女たちは女郎屋に売られ、蘭学者に扇動された青年達は決起寸前、革命の機運高まる、というのが1969年的なんでしょうか。


中孝介

发表于3分钟前

回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000


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