电影《疯狂一家秀》讲述了一个小女孩江美豆在得知自己入围“青春中国”决赛后,影院一家人开着车陪伴江美豆去北京参加比赛的故事。这一路上发生了一系列惊险刺激而又啼笑皆非的事,影院各种各样的遭遇让一家人的心更加的亲近,这不仅是一趟陪伴孩子实现梦想的旅途,也是他们自己的心灵之旅....
电影《疯狂一家秀》讲述了一个小女孩江美豆在得知自己入围“青春中国”决赛后,影院一家人开着车陪伴江美豆去北京参加比赛的故事。这一路上发生了一系列惊险刺激而又啼笑皆非的事,影院各种各样的遭遇让一家人的心更加的亲近,这不仅是一趟陪伴孩子实现梦想的旅途,也是他们自己的心灵之旅....
回复 :康仁久(宋康昊 饰)是一名黑社会帮派里的中层人物。但他有个贤淑的妻子(朴知英 饰),一双儿女,是一个极普通的家庭。仁久一心想过着田园生活,与世无争,跟妻子儿女和睦幸福的生活。因此他在帮派里表现突出,希望能像其他人一样做一名好丈夫与好父亲。可是最近帮派里的大人物有所矛盾,仁久自己跟女儿的关系也不是很好。他开始感到失落,他决心要做一件大事,让女儿及组织里的人能看到自己的能力。到最后,仁久最想要的舒适生活又能否如愿以偿呢?
回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000
回复 :20世纪60年代,为了备战,全国各地热血青年来到蒙阴县笊篱坪,投身军工事业。轰轰烈烈20年,他们奉献了芳华和热情,为国家安宁做出了巨大贡献。老厂长为了国家财产献出宝贵生命,二嘎和小雯在艰苦的创业中建立了深厚的姐弟情。80年代后国家进入经济建设时期,军工厂转民用生产,尔后撤离了沂蒙山区,大批人带着美好记忆离开了沂蒙山。事业有成的二嘎割舍不掉对军工厂和姐姐的那段记忆,他举巨资将废弃的旧工厂重新建设,复原了当年的景象,成为军工企业文化园—中小学生拓展训练和旅游圣地,记录和延续了那一段历史以及那一代人的创业精神,也迎来的姐姐的爱情。